Wednesday 8 July 2009

A natural history of bankers



Ray cruised his Bentley Turbo through the suburban streets to the house he and his fellow hedge-funders had had converted into their state-of –the-art office. Parking was a nightmare with all the middle class women whingeing on about their school runs or getting the ambulance in for granddad’s outpatient visits, but he could ignore them with ease. It was handy for Heathrow, the races and a little state-of-the art oriental girl he maintained in Wimbledon. It was his big joke. He could make money anywhere. And he could spend it exactly how he wished to.

That was all changing of course. The money he’d made had been drastically reduced, and hiding it away was becoming ever more complicated, but times would change. And when they did, he would be there at the front of the queue. The market belonged to marketeers. It was the natural way of things. He parked up and went in to make money.

When he came out again that evening, he was dumfounded. Gouged into his Bentley’s gleaming bonnet were the words “USELESS EVIL GREEDY BASTARD!” He gazed about him in utter disbelief at the quite road, with its pollarded trees and recycling bins laid dutifully out for the following day. Who on earth round there could do something like that?

Ray went back in to his desk and called the police. They took an hour to arrive, a statement and no further action.

2 comments:

Sanguinetti SW15 said...

C'esdt la lutte finale! Even near Wimbledon.

Oscar Grillo said...

C'est la lutte finale:
Groupons-nous, et demain,
L'Internationale
Sera le genre humain.
C'est la lutte finale:
Groupons-nous, et demain,
L'Internationale
Sera le genre humain.

1. Debout! les damnés de la terre!
Debout! les forçats de la faim!
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la fin.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout! debout!
Le monde va changer de base:
Nous ne sommes rien, soyons tout!
Chorus:

2. Il n'est pas de sauveurs suprêmes:
Ni Dieu, ni César, ni tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes!
Décrétons le salut commun!
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l'esprit du cachot,
Soufflons nous-memes notre forge,
Battons le fer quand il est chaud!
Chorus:

3. L'État comprime et la loi triche;
L'Impôt saigne le malheureux;
Nul devoir ne s'impose au riche;
Le droit du pauvre est un mot creux.
C'est assez languir en tutelle,
L'Égalité veut d'autres lois;
"Pas de droits sans devoirs," dit-elle,
"Égaux, pas de devoirs sans droits!"
Chorus:

4. Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail:
Dans les coffres-forts de la bande
Ce qu'il a créé s'est fondu.
En décrétant qu'on le lui rende
Le peuple ne veut que son dû.
Chorus:

5. Les rois nous soûlaient de fumées,
Paix entre nous, guerre aux tyrans!
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l'air et rompons les rangs!
S'ils s'obstinent, ces cannibales,
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Chorus:

6. Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs;
La terre n'appartient qu'aux hommes,
L'oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent!
Mais, si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins, disparaissent,
Le soleil brillera toujours!